Sortie du 3e numéro de la revue "À corps perdu"

Publié le par la Rédaction

Le numéro 3 de la revue anarchiste internationale À corps perdu est paru en septembre 2010. Il fait 96 pages brochées, coûte 3 euros l’un et 10 euros les cinq. On peut le commander (envoyer un chèque à l’ordre de «Ce») à cette adresse :

À corps perdu
21ter, rue Voltaire
75011 Paris

 

Voilà son sommaire :

Oui, mais…
— Au centre du volcan [nouvelle traduction] (p4)
— Le sol instable du néant (p13) 
Dossier Insurrection
— En guise d’introduction (p18)
— Quatorze points sur l’insurrection (p23)
— La révolte incendiaire de novembre 2005 en France et l’hypothèse insurrectionnelle (p36)
— La grèce rebelle (p51) :
Les sentiers de la révolte de décembre 2008 (p52)
Voyage au cœur d’une possibilité (p61)
— Bolivie & Argentine : soulèvements et contradictions populaires (p68)
Commentaires déplacés
— L’insurrection qui vient (p88)

 

 

Présentation de la revue

 

Cette revue part d’une exigence commune : dépasser la nécessaire agitation du quotidien des luttes pour prendre le temps de l’approfondissement et aiguiser nos armes. Parce que nous ne séparons pas la théorie de la pratique, que nos désirs de liberté se forgent d’expériences comme de réflexions, nous avons souhaité apporter une autre contribution à la guerre sociale en cours. Un moment qui soit une source d’idées et pas d’opinions, un lieu où réinventer un espace commun de débat à partir de contextes particuliers.

 

Mais cette revue part aussi d’une insatisfaction : lire ce que nous n’avons pas trouvé ailleurs, porter une perspective anarchiste qui parte de l’individu pour la relier à l’antagonisme social quotidien, retrouver le goût d’une subversion affranchie des classiques de la critique autoritaire, même hétérodoxe. En somme, débarrassée de la politique.

 

Si des compagnons de plusieurs pays y participent, les textes publiés ne représentent personne et n’aspirent pas à le faire. Ils doivent leur présence ici à un contenu que nous avons jugé d’intérêt, sans que nous partagions nécessairement en entier leur forme ni que cela signifie en soi une affinité avec leur auteur.

 

NB : À Bruxelles, on peut la trouver au local Acrata (32 rue de la Grande Île), à Paris à la Bibliothèque Libertad (19 rue Burnouf, 19e les mardis de 17 à 20h), à Zürich à la Bibliothek Benzino (Binz, Uetlibergstr. 111a) et à Berlin à la Buchladen Schwarze Risse (Gneisenaustr. 2a. 10961).

 

NB2 : On peut lire les précédents numéros en PDF et en plusieurs langues ici.

 


Publié dans Presse

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