Écologie radicale - Action à Chasse-sur-Rhône (Isère), nuit du 11 au 12 décembre

Publié le par la Rédaction

Des écoterroristes revendiquent un incendie à Chasse-sur-Rhône

 

L'Animal Rights Militia (la milice pour les droits des animaux) a revendiqué l’incendie criminel qui a détruit mi-décembre deux étages de l'entreprise Biomatech, à Chasse-sur-Rhône. Une revendication mise en ligne sur un site nord-américain très engagé et qui recense toutes les actions des écologistes radicaux.

 

 

Dans la nuit du 12 décembre dernier, le feu avait dévasté quelque 300 m² de bureaux de l’entreprise spécialisée dans le domaine de l’évaluation de la biocompatibilité des dispositifs médicaux. Un incendie d’une grande violence au cours duquel un pompier avait été blessé à la main.

 

Ce mardi, concernant l’incendie de Chasse-sur-Rhône, le procureur de Vienne s’est dessaisi du dossier au profit de la juridiction inter-régionale spécialisée de Lyon.

 

Toute l'enquête dans Le Dauphiné Libéré du mercredi 2 février.

 

Leur presse (Benjamin Boutier,
Le Daubé), 1er février 2011.

 

 

 

 

Une nuit, notre équipe de six, deux sentinelles, quatre exécutants, a placé deux dispositifs incendiaires (bouteilles de gaz) dans le département exécutif de BIOMATECH (vivisecteurs). Cinq repérages furent nécessaires pour cette action en honneur à Costa, Billy et Silvia.

 

BIOMATECH, basé en France, massacre des milliers de chiens, lapins, moutons, cochons, poneys… Nous n’allons pas les laisser perpétrer leurs crimes et laisser faire le projet d’extension de ce centre de torture.

 

ARM, 21 janvier.
The North American Animal Liberation Press Office - Bite Back - La Terre d’abord.

 

 

 

 

Chasse-sur-Rhône : 300 m2 de bureaux détruits, la solidarité s’organise

 

Il était un peu plus d’une heure du matin dans la nuit de samedi à dimanche lorsqu’un terrible incendie s’est déclaré dans la partie administrative de l’entreprise Biomatech, un centre d’étude, située rue Pasteur, à Chasse-sur-Rhône.

 

Rapidement sur place, les pompiers ont dû faire face à un feu d’une grande violence. Au plus fort de l’incendie, une trentaine de sapeurs-pompiers luttaient contre les flammes.

 

Durant l’intervention, un pompier a été blessé à la main et évacué vers l’hôpital Edouard-Herriot de Lyon, où il attendait, hier en début de soirée, une opération pour soigner un tendon sectionné. Au total, 300 m² de bureaux sont partis en fumée, soit la totalité des deux étages de la partie administrative de l’entreprise. Hier, durant une partie de la journée, les pompiers étaient sur place pour faire face aux éventuelles reprises du feu, mais aussi prévenir le risque d’effondrement de la structure.

 

L’édifice devrait être à nouveau totalement contrôlé aujourd’hui avant qu’une partie ne soit détruite probablement dans l’après-midi ou au plus tard mardi. Les pompiers ont également dû intervenir sur une reprise de feu vers 17h30.

 

Une unité d’identification criminelle de la gendarmerie était présente sur place pour tenter de déterminer l’origine du sinistre. Selon nos informations, l’alarme du bâtiment s’est déclenchée à une heure du matin. Une double alarme pour feu et intrusion. Toutefois, le déclenchement de l’alarme d’intrusion pourrait être du seul fait de l’incendie. «On se pose des questions», expliquait Jean-Pierre Boutrand, le directeur général de l’entreprise.

 

Hier soir, les enquêteurs n’excluaient aucune hypothèse, même si la piste d’un problème électrique était avancée.

 

Leur presse (Clément Breysse & Benjamin Boutier,
Le Progrès), 13 décembre.

 


Publié dans Terre et environnement

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F
<br /> <br /> Et voila, on lache les gros mots : éco-terroriste... leur presse est vraiment prévisible... Ah c'est sur que en brulant un laboratoire... ils ont térrorisé toute une population qui n'était même<br /> pas la, et pas au courant si les médias n'en parlais pas...<br /> <br /> <br /> <br />
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