Un recul de l'État
Un couple libéré après une garde à vue antiterroriste
Soupçonné d’avoir tenté d’incendier une voiture à Paris, un couple a été placé en garde à vue à la section antiterroriste pour de présumés liens avec la mouvance d’ultra-gauche, puis libéré, a-t-on appris vendredi 16 janvier de source judiciaire.
L’homme, âgé de 27 ans, et son amie, une avocate de 30 ans, ont été remis en liberté jeudi soir. Aucune charge n’avait pu être rassemblée pour envisager des poursuites à leur encontre, selon cette même source.
Lien avec Julien Coupat
Le couple était considéré comme proche de la mouvance d’extrême gauche par la police. Celle-ci était intriguée par le fait que les coordonnées de l’avocate étaient en possession de Julien Coupat, mis en examen pour direction d’une entreprise terroriste dans l’affaire des dégradations contre des lignes de TGV.
Le couple avait été interpellé dans la nuit de mardi à mercredi. Sous l’emprise de l’alcool, ils semblaient alors s’apprêter à incendier une voiture dans le XIXe arrondissement de Paris, à proximité de leur domicile, qui a ensuite été perquisitionné.
Le jeune couple avait été placé en garde à vue à la section antiterroriste pour avoir tenté de brûler une voiture, avant d’être relâché. La police le soupçonnait d’avoir un lien avec Julien Coupat.
Soupçonné d’avoir tenté d’incendier une voiture à Paris, un couple a été placé en garde à vue à la section antiterroriste pour de présumés liens avec la mouvance d’ultra-gauche, puis libéré, a-t-on appris vendredi 16 janvier de source judiciaire.
L’homme, âgé de 27 ans, et son amie, une avocate de 30 ans, ont été remis en liberté jeudi soir. Aucune charge n’avait pu être rassemblée pour envisager des poursuites à leur encontre, selon cette même source.
Lien avec Julien Coupat
Le couple était considéré comme proche de la mouvance d’extrême gauche par la police. Celle-ci était intriguée par le fait que les coordonnées de l’avocate étaient en possession de Julien Coupat, mis en examen pour direction d’une entreprise terroriste dans l’affaire des dégradations contre des lignes de TGV.
Le couple avait été interpellé dans la nuit de mardi à mercredi. Sous l’emprise de l’alcool, ils semblaient alors s’apprêter à incendier une voiture dans le XIXe arrondissement de Paris, à proximité de leur domicile, qui a ensuite été perquisitionné.
Presse terroriste :
Le Nouvel Observateur, 16 janvier 2009.