Balzac deux mille neuf

des graffitis menacent les policiers
(…) une coursive désolée, inondée d’urine, balafrée de graffitis. Une coursive où s’affichent les provocations des caïds rédigées en phonétique. «Brice H, (du nom d’un policier du commissariat voisin) t’est mort». «Matthieu, on va te faire péter». Ou encore «Flashballes ces rien bientôt c’est a l’explosif et alakalache» peut-on lire, avec un dessin de fusil d’assaut…
Leur presse (Cécilia Gabizon, Le Figaro), 19 mai 2009.
