Les lycéens champagnolais se mobilisent à leur tour
Une coordination départementale est en cours de constitution
Aujourd’hui, le lycée Paul-Émile Victor lance une mobilisation lycéenne, pour discuter des réformes de l’Éducation nationale en cours. À 12h45, les jeunes lycéens se retrouveront en assemblée générale pour déterminer des actions à suivre pour faire entendre leur voix. «Nous étions en retard et le manque de mobilisation nous a inquiétés. Mais finalement, elle va prendre forme chez nous aussi», confie Clovis Durand, coordinateur du mouvement à Champagnole.
Les lycéens vont ainsi rejoindre le mouvement national qui agitent les établissements français depuis quelques semaines. En ligne de mire, la contestation du projet de fusion des bac Pro avec les BEP, annoncé en janvier dernier. «Nous sommes directement concernés par ces réformes, puisque dans notre lycée, il y a beaucoup de formations professionnelles. Fondre les deux formations va dévaluer un diplôme déjà sous-estimé», assure-t-il.
Une assemblée générale à Lons aujourd’hui
La suppression des classes artistiques ainsi que de postes d’enseignants inquiètent également les jeunes Champagnolais. À Lons-le-Saunier, une assemblée générale aura également lieu à 13 heures au lycée Jean-Michel. Ces initiatives devraient se rattacher à une coordination départementale, en cours de constitution.
Aujourd’hui, le lycée Paul-Émile Victor lance une mobilisation lycéenne, pour discuter des réformes de l’Éducation nationale en cours. À 12h45, les jeunes lycéens se retrouveront en assemblée générale pour déterminer des actions à suivre pour faire entendre leur voix. «Nous étions en retard et le manque de mobilisation nous a inquiétés. Mais finalement, elle va prendre forme chez nous aussi», confie Clovis Durand, coordinateur du mouvement à Champagnole.
Les lycéens vont ainsi rejoindre le mouvement national qui agitent les établissements français depuis quelques semaines. En ligne de mire, la contestation du projet de fusion des bac Pro avec les BEP, annoncé en janvier dernier. «Nous sommes directement concernés par ces réformes, puisque dans notre lycée, il y a beaucoup de formations professionnelles. Fondre les deux formations va dévaluer un diplôme déjà sous-estimé», assure-t-il.
Une assemblée générale à Lons aujourd’hui
La suppression des classes artistiques ainsi que de postes d’enseignants inquiètent également les jeunes Champagnolais. À Lons-le-Saunier, une assemblée générale aura également lieu à 13 heures au lycée Jean-Michel. Ces initiatives devraient se rattacher à une coordination départementale, en cours de constitution.