PostierEs en grève à Besançon
Doubs : Le centre de tri postal de Besançon toujours paralysé par la grève
Ces derniers dénoncent les modifications horaires engendrées par le dispositif Cap qualité courrier prévue pour avril 2009.

«Les tris de Belfort et de Vesoul ont été réduits fin 2008 et c’est Besançon qui se charge du traitement du courrier. Ce qui a obligé certains de nos collègues de ces centres à venir bosser, ici, à Besançon. Lons est également condamné et le courrier du Jura ne sera même pas traité en Franche-Comté mais à Dijon. En attendant, nous, ici, on nous casse nos horaires de travail», tempête Julien Juif (SUD). Selon les syndicalistes, il y aura de moins en moins de présence le matin et les activités seront de plus en plus nombreuses l’après-midi et surtout la nuit, entre 20 et 6h. «Les horaires de 17 à 24 seront supprimés et les gens seront obligés de se positionner sur un travail de jour ou de nuit.
Le recrutement d’intérimaires pour traiter le courrier extra-muros, n’est pas de nature à apaiser les tensions. Une mesure qualifiée «d’initiative illégale destinée à casser la grève».
À Besançon, le centre de tri est toujours bloqué par la grève lancée, en début de semaine, par l’intersyndicale CGT, SUD et CFDT.
Ces derniers dénoncent les modifications horaires engendrées par le dispositif Cap qualité courrier prévue pour avril 2009.

«Les tris de Belfort et de Vesoul ont été réduits fin 2008 et c’est Besançon qui se charge du traitement du courrier. Ce qui a obligé certains de nos collègues de ces centres à venir bosser, ici, à Besançon. Lons est également condamné et le courrier du Jura ne sera même pas traité en Franche-Comté mais à Dijon. En attendant, nous, ici, on nous casse nos horaires de travail», tempête Julien Juif (SUD). Selon les syndicalistes, il y aura de moins en moins de présence le matin et les activités seront de plus en plus nombreuses l’après-midi et surtout la nuit, entre 20 et 6h. «Les horaires de 17 à 24 seront supprimés et les gens seront obligés de se positionner sur un travail de jour ou de nuit.
Le recrutement d’intérimaires pour traiter le courrier extra-muros, n’est pas de nature à apaiser les tensions. Une mesure qualifiée «d’initiative illégale destinée à casser la grève».
Presse bourgeoise :
Le Progrès (édition du Jura), 20 février 2009.