«Dans les salles obscures que la dérive peut traverser, il faut s’arrêter un peu moins d’une heure, et interpréter en se jouant le film d’aventures qui passe : reconnaître dans les héros quelques personnages plus ou moins historiques qui nous sont proches, relier les événements du scénario inepte aux vraies raisons d’agir que nous leur connaissons, et à la semaine que l’on est soi-même en train de passer, voilà un divertissement collectif acceptable (voir la beauté du Prisonnier de Zenda quand on sait y nommer Louis de Bavière, J. Vaché sous les traits du comte Rupert de Rantzau, et l’imposteur qui n’est autre que G.-E. Debord).»
Potlatch no 24, 24 novembre 1955
Bulletin d’information du groupe français de l’Internationale lettriste