On n'arrête pas le Progrès
Le Progrès du 1er octobre 2006.
« Les militaires de la compagnie de gendarmerie de Saint-Claude étaient discrètement présents le long de la rue du Pré. Philippe de Villiers dispose de son propre service de sécurité, en l’occurrence un garde du corps. “Il y a des endroits où je ne peux plus me rendre, dit-il, mais j’ai la fierté de défendre mes convictions”. » (Le Progrès, 30 septembre 2006.)
Le Progrès du 17 décembre 2006.