8 ans de destructions en Afghanistan : un centre de recrutement militaire investi à Paris
Communiqué
À l’occasion du huitième anniversaire de l’occupation de l’Afghanistan, des membres d’Agir Contre la Guerre, Americans Against the War, Mouvement de la Paix, du CEDETIM, et du Nouveau Parti Anticapitaliste ont investi le centre de recrutement et d’information de l’Armée de terre à Paris au nom du collectif OTAN-Afghanistan. Ils ont jeté des milliers de flyers exigeant le retrait des troupes françaises, exprimant ainsi leurs solidarité avec le peuple afghan de Kaboul à Calais, demandant la fermeture des casernes et l’ouverture de bureaux de postes, d’écoles et d’hopitaux.
Du sang a été projeté dans le centre et de la peinture rouge sur la façade. Alors que l’armée française justifie des «dommages collatéraux» qui font des milliers de morts en Afghanistan, cette action a entrainé une réponse policière démesurée. Treize personnes ont été arrêtées et relachées après un contrôle d’identité sous prétexte de «dégradations de biens publics en réunion».
Manifestation à Paris contre la guerre en Afghanistan, 13 brèves interpellations
Les manifestants demandaient l’arrêt de l’opération internationale en Afghanistan et le retrait de l’armée française de ce pays. Ils ont projeté de la peinture rouge sur la façade de l’établissement, situé dans le 12e arrondissement de Paris, et certains ont réussi à pénétrer brièvement dans les locaux de la caserne. Cette manifestation était organisée à l’occasion du huitième anniversaire du début de l’intervention internationale en Afghanistan. Treize personnes ont été interpellées, selon le journaliste de l’AFP, et relâchées après un contrôle d’identité pour «dégradations de biens publics en réunion», selon les organisateurs. Le collectif Otan-Afghanistan avait fait partie des organisateurs des manifestations en marge du sommet de l’Otan, à Strasbourg et Kehl en avril dernier.
À l’occasion du huitième anniversaire de l’occupation de l’Afghanistan, des membres d’Agir Contre la Guerre, Americans Against the War, Mouvement de la Paix, du CEDETIM, et du Nouveau Parti Anticapitaliste ont investi le centre de recrutement et d’information de l’Armée de terre à Paris au nom du collectif OTAN-Afghanistan. Ils ont jeté des milliers de flyers exigeant le retrait des troupes françaises, exprimant ainsi leurs solidarité avec le peuple afghan de Kaboul à Calais, demandant la fermeture des casernes et l’ouverture de bureaux de postes, d’écoles et d’hopitaux.
Du sang a été projeté dans le centre et de la peinture rouge sur la façade. Alors que l’armée française justifie des «dommages collatéraux» qui font des milliers de morts en Afghanistan, cette action a entrainé une réponse policière démesurée. Treize personnes ont été arrêtées et relachées après un contrôle d’identité sous prétexte de «dégradations de biens publics en réunion».
Collectif Otan-Aghanistan, 7 octobre 2009.
Manifestation à Paris contre la guerre en Afghanistan, 13 brèves interpellations
Quelques dizaines de militants opposés à la guerre en Afghanistan, appartenant notamment au collectif Otan-Afghanistan, ont manifesté mercredi devant un centre de recrutement de l’armée française à Paris, et 13 d’entre eux ont été brièvement interpellés, a constaté un photographe de l’AFP.
Les manifestants demandaient l’arrêt de l’opération internationale en Afghanistan et le retrait de l’armée française de ce pays. Ils ont projeté de la peinture rouge sur la façade de l’établissement, situé dans le 12e arrondissement de Paris, et certains ont réussi à pénétrer brièvement dans les locaux de la caserne. Cette manifestation était organisée à l’occasion du huitième anniversaire du début de l’intervention internationale en Afghanistan. Treize personnes ont été interpellées, selon le journaliste de l’AFP, et relâchées après un contrôle d’identité pour «dégradations de biens publics en réunion», selon les organisateurs. Le collectif Otan-Afghanistan avait fait partie des organisateurs des manifestations en marge du sommet de l’Otan, à Strasbourg et Kehl en avril dernier.
Leur presse (AFP), 7 octobre.