Devoirs de vacances (2)
L’athéisme travaille cet été : dans la foulée du geste souillant la mémoire du général Lamoricière dans la cathédrale de Nantes, le mausolée vendéen de Vezins vient d’être pris pour cible une fois de plus.
À suivre !
Vezins (49) : la chapelle de nos martyrs
une nouvelle fois profanée
Ce sont plus d’un millier de vieillards, de femmes et d’enfants que Stofflet avait mis à l’abri des colonnes infernales en 1794 dans son hôpital en forêt de Vezins, à l’est de Cholet. Sans doute sur trahison, les Bleus ont investi ces lieux en l’absence de ce chef lorrain de l’insurrection des catholiques et ont exterminé tous ces malheureux.
Plus de 200 ans après, la même haine brûle encore et la chapelle des martyrs érigée dans cette forêt en 1863 ne cesse d’être vandalisée et profanée. Non seulement, l’ossuaire a été violé il y a quelques années, mais chaque restauration de la chapelle est suivie de destructions. Déjà, on pouvait lire l’été dernier :
À Yzernay, le cimetière des Martyrs à nouveau vandalisé
L’URBVM s’inquiète de voir les lieux de cultes catholiques et de la mémoire saccagés, détruits, incendiés. Personne parmi les responsables de notre «belle» république ne s’indigne. Il faut dire qu’ils ne réagissent que pour d’autres lieux de culte et de mémoire mis à sac !
Situés au cœur de la forêt de Nuaillé-Chanteloup, près de l’étang de Péronne, la chapelle et l’oratoire du cimetière des Martyrs ont été une nouvelle fois vandalisés entre le 8 et le 10 juillet. Plusieurs vitraux ont été cassés dont le vitrail de l’oratoire du Souvenir vendéen. Ce vitrail rouge et bleu, dont le centre représente le cœur vendéen, avait déjà été brisé en 1988 et en 2002. Des profanations et actes de vandalisme qui avaient profondément marqué les esprits.
La chapelle a également été saccagée. Le côté gauche de la plaque recouvrant le caveau au pied de l’hôtel a été cassé. Côté ouest, les vitraux ont été brisés et des barres de fer forgé ont été forcées. Une corniche en pierre a été détruite sur tout un côté. Les propriétaires des lieux, Mme et M. de Fougeroux, ont porté plainte auprès de la gendarmerie. «À cause de ces actes de vandalisme, qui sont inqualifiables, la chapelle n’est plus ce qu’elle était, un véritable lieu de prière et de recueillement empreint d’histoire et de sacré, déplore Mme de Fougeroux. Nous avons dû enlever beaucoup d’objets de culte et du mobilier dont les prie-dieu. La chapelle est vide et il est difficile dans ces conditions de l’entretenir comme il le faudrait. C’est bien malheureux.»
La chapelle a été édifiée en 1863 par le comte René de Colbert comme lieu de sépulture de sa famille et pour rendre hommage au souvenir de plus d’un millier de victimes massacrées à cet endroit en 1794 pendant les guerres de Vendée.
L’oratoire, situé à l’arrière de la chapelle, tel qu’on le connaît aujourd’hui, a été érigé en 1951 par les moines de Belfontaine.
Publié dans Ouest-France /
Union royaliste Bretagne Vendée militaire, 31 juillet 2008.
Aujourd’hui un lecteur nous envoie ces photos prises en juillet dernier : vitraux et statues brisés, marches de l’autel arrachées, chapelle vide, mobilier détruit, etc.
Haine de la Foi qui n’a pas fini de sévir dans notre France, qui n’hésite pas à s’en prendre aux morts pour que les vivants oublient dans le silence assourdissant des responsables religieux et politiques...
Leur presse (Le Salon beige), 3 août 2009.
L’église de la Rabière (à Joué-lès-Tours) cible de vandales
L’église Saint-Joseph, située au cœur du quartier de la Rabière, est la cible d’actes de vandalisme à répétition depuis plusieurs jours. Plusieurs vitres ont été brisées sur la porte d’entrée principale — ainsi qu’une targette de fermeture arrachée — et à un accès sur le côté de l’édifice religieux. Les enquêteurs ont également relevé des traces de sang. La sacristie a été visitée sans qu’aucun vol ait été commis. Pire ? ils ont découvert des flaques d’urine à l’intérieur de l’église. Plainte a été déposée. Les faits auraient eu lieu entre le 12 et le 15 juillet dernier.
Leur presse (maville.com), 16 juillet.