Vigiles et police travaillent à Montpellier
Electromind : Heurts entre les festivaliers et la sécurité
Dépités par l'arrêt des festivités, les organisateurs l'ont été encore plus lorsque que des heurts ont éclaté entre quelques dizaines d'irréductibles, furieux que la musique s'arrête, et le service de sécurité. Les premiers s'en sont pris aux bars centraux, en tapant frénétiquement dessus, jusqu'à ce que les seconds, dépassés par les évènements, interviennent à coups de gaz lacrymogènes mais aussi en portant des coups disproportionnés et inutiles qui ont attisé la colère du noyau dur.
Les bars ont été pillés, les bouteilles ont volé, les forces de l'ordre ont fini par accélérer le départ des festivaliers, dans la confusion. En dehors du site, des incidents ont continué entre policiers et fêtards, sans entraîner de blessures graves.
«La plupart du public a compris qu'il fallait arrêter sauf un petit groupe, 50 personnes sur les 10.000 présents qui ont attaqué les infrastructures.»
Dépités par l'arrêt des festivités, les organisateurs l'ont été encore plus lorsque que des heurts ont éclaté entre quelques dizaines d'irréductibles, furieux que la musique s'arrête, et le service de sécurité. Les premiers s'en sont pris aux bars centraux, en tapant frénétiquement dessus, jusqu'à ce que les seconds, dépassés par les évènements, interviennent à coups de gaz lacrymogènes mais aussi en portant des coups disproportionnés et inutiles qui ont attisé la colère du noyau dur.
Les bars ont été pillés, les bouteilles ont volé, les forces de l'ordre ont fini par accélérer le départ des festivaliers, dans la confusion. En dehors du site, des incidents ont continué entre policiers et fêtards, sans entraîner de blessures graves.
Leur presse (Midi Libre), 2 août 2009.